Avis Le jeu de la dame - Page 7

Au bout de trois épisodes j'abandonne! Qu'y a-t-il d'original ou de passionnant dans cette série? Soit le parcours d'une jeune orpheline prodige des échecs par ailleurs diversement addict et au caractère passablement détestable (impolie, antipathique, égoïste, susceptible, hautaine, malhonnête...) - ce que l'actrice rend parfaitement grâce à un jeu mono expressif! Présentés comme familiarisant avec le jeu de stratégie par excellence, ces épisodes nous en apprennent pourtant bien peu, tant sur les tactiques de l'héroïne que sur la richesse de jeu offerte sinon par des allusions ou une sémantique technique. De même, quid de l'enjeu narratif? On comprend d'emblée vers quoi on se dirige, d'autant que Beth ne perd quasiment jamais, faisant perdre tout potentiel suspense à l'histoire qui après une introduction consacrée à l'enfance (malheureuse) tourne en rond, les parties se ressemblant autant que la mécanique du récit. Bref, qu'en garder d'intéressant?!

Franchement cette série ne m'a pas du tout impressionné et l'actrice principale qui joue très bien incarne un personnage totalement désintéressé qui ne nous laisse pas beaucoup d'empathie... dommage

Une série unique avec un très bon casting. Une histoire qui change de ce qu'on voit tous le temps sur Netflix, et une actrice principale à couper le souffle

Alléchante et envoûtante, cette série est tel le regard de son actrice principale. Elle nous attire par sa beauté.

Cette série est fantastique! Je n'y vois pas un seul defaut pour ma part.
Realisation et interpretation parfaite!

Cette série est d'abord esthétiquement magnifique : la photographie, les décors et les costumes sont superbes. Un vrai plaisir pour les yeux ! L'héroïne, monomaniaque à la limite de l'autisme, a un charme et un charisme incroyable. Le jeu des acteurs est sensationnel. C'est un brin anti-conformiste, féministe et anti-religieux. Pas besoin d'être un connaisseur du jeu d'échec pour apprécier cette belle série.

Il n'y a rien à critiquer... Le jeu de l'actrice, l'intrigue, les décors, la psychologie des personnages... Merveilleux!
Nul besoin de connaître les échecs, tout coule, tout est limpide.

Le récit d'un alcoolisme, d'une addiction. Un mal-être futile, carrément glamour ? C'est tout l'inverse. Le film déballe l'histoire déchirante de quelqu'un qui n'a rien demandé. Beth excelle aux échecs, sa raison de vivre devient plus qu'essentielle, et en même temps sa vie 'normale' attire sans cesse ses démons. Le principe des addictions finalement. Certaines scènes ne sont que le reflet d'une réalité pure, loin des clichés liés aux addictions. Et c'est là que la série nous fout une bonne claque dans la gueule. Mais quelle série : une mise en scène incroyable, des couleurs presque nostalgiques, une immersion dans le passé… Et évidemment l'incroyable jeu d'actrice d'Anya Taylor-Joy, ponctué de nuances, d'expressions communicatives… Bordel, allez voir cette série.

Propagande féministe de la plus grande stupidité. La pravda du "monde libre". C'est absolument inepte et insupportable. Juste bon pour les types en trotinnette du boboïstan.

Dynamique, joliment joué. Une petite perle.
Merci Netflix pour ces 7 heures captivantes.

Un excellent moment et pas de frustration à la fin du dernier épisode. Que l'on joue aux échecs ou pas, l'histoire vous embarque. Jeu, décors et costumes parfaits. Je conseille.

Les épisodes de l'Orphelinat sont vraiment intéressant...La suite, l'ascension, mets en action des ressorts assez émoussés....dans la grande tradition du self made...woman.

Le sépia à fond les ballons, la musique planplan, les incohérences à répétition, la bonne copine genre "minorité" produit made in usa, le choix des décors et des styles vestimentaires...
Bref : tout est surfait, les traits sont grossis de façon grossière et pardon mais les libertés qu'offre la fiction ne permettent pas selon moi de proposer un personnage qui par miracle ne connais pas l'échec...aux échecs. Et sans s'entrainer.
Clichés sur clichés
Le plus beau coup de maître que j'ai vu au travers de cette série a été celui réalisé par la production et le marketing pour faire de cette série B carton plein. Échec et mat !

Décevant est le mot qui me semble le plus approprié. On a l'impression, n'ayant pas lu le roman d'où elle est tirée, que ce roman et ce personnage de joueuse d'échec prodige un peu cassée à l'intérieur auraient pu donner matière à une adaptation cinématographique formidable. A la place, on se retrouve avec un film long, très long, et presque aussi médiocre qu'il est long. Seuls le premier et le dernier épisodes tiennent la route, les autres semblent n'être que du remplissage pour tenir les 7 épisodes commandés. Réalisation plate, sans originalité ni fantaisie (sauf un effet spécial assez grotesque et répétitif d'échiquier au plafond), tension dramatique inexistante (on devine exactement tout ce qui va se passer), personnages secondaires à peine esquissés. L'ensemble est convenu, sans surprise, superficiel, délayé, ennuyeux, répétitif, plat, avec des parties d'échec interminables sans aucun intérêt narratif ni cinématographique, alors même que la longueur du film aurait permis de mettre de la profondeur, tant dans le personnage principal que dans les caractères secondaires. Bref, ce qui aurait pu être l'histoire d'un personnage hors norme et tragique est en fait une histoire fadasse, sans profondeur et sans relief. Une mention spéciale tout de même pour l'actrice qui joue le rôle de l'héroïne enfant.

Tout à fait remarquable, très soigné dans le scénario, les personnages et les codes graphiques. Aviez-vous remarqué que dans la dernière scène, lorsqu'Elisabeth se rend dans le parc, elle est habillée en Reine blanche, spoiler: symbolisant le fait qu'elle est "devenue" la pièce la plus forte
? Et plus généralement lors du dernier tournoi elle a toujours une robe blanche ou noire, ou les deux (la première robe qu'elle porte rappelle d'ailleurs les cases d'un échiquier). C'est dire le soin apporté au moindre détail...