Avis The 8 Show

c'est une bonne serie mais je la mettrait clairement pas au même niveau que squid game, certains passages sont d'une enormité sans nom de previsibilité que sa en devient un peu ridicule et clairement les deux derniers episodes font juste trainé en longueur

Excellente série pour ma part... Une sorte de thriller en huis clos avec 8 participants en mode télé-réalité... Cela ressemble un peu à Squid Game (sauf que c est moins commercial), au film La plateforme, Cercle, ou encore L'Expérience etc... Au début l ambiance est joviale et marrante puis au fur et à mesure que la série avance l ambiance devient de plus en plus sombre... Les personnages se manipulent les uns les autres... Vers la fin on a de la violence psychologique en mode Orange Mécanique... L histoire est bien menée... Les personnages sont bien développés et pour certains attachants... C est à la fois drôle, divertissant, caustique, sinique et violent... La série est une sorte de critique social de la pyramide des classes... Bref j'ai vraiment bien accroché...

The huis clos !
Je voulais juste faire un jeu de mots pour dire que c'est un excellent huis clos mais il faut 100 caractères alors j'ai dû continuer.

Encore une master class de Corée !
Un mini Squid Game, bien pensé, avec des allégories sur la société, certes évidentes, mais délicieusement mises en scène.

Huit personnages fauchés et au bord du gouffre acceptent de participer à une émission dont ils ignorent les règles, alléchés par la promesse d'une grosse récompense. Si le postulat de départ n'est pas sans rappeler Squid Game, The 8 Show se distingue par l'abord de thématiques qui étaient un peu laissées de côté par son prédécesseur.

Ici, il est question de lutte des classes, de justice sociale et de quête du pouvoir. On est loin d'une série horrifique criarde où la violence s'impose comme la seule issue possible. Et pourtant, dès le départ, la menace d'un massacre plane : "si l'un des joueurs meurt, le jeu s'arrête". Le spectateur l'a bien compris : il ne s'agit pas de savoir "si", mais de savoir "quand" et surtout "pourquoi". Ces deux questions maintiennent une tension constante, soutenue par la découverte progressive des règles du jeu qui resserrent l'étau autour de nos personnages à chaque épisode.

Ces personnages, justement, sont traités de manière intéressante : l'aspect psychologique est mis de côté - au moins en partie - au profit de l'exploration du rôle social de chacun. On se retrouve donc avec des protagonistes qui, bien qu'un peu caricaturaux, gardent toujours un part de mystère, quelque chose d'incernable, d'intriguant. Les antagonistes sont d'une cruauté insoutenable et révoltante, faisant planer un sentiment d'injustice permanent, jusqu'au désespoir. Le héros est selon moi bien construit : tantôt lâche, tantôt courageux, parfois naïf, parfois malin... Il n'est qu'un humain comme les autres, parmi les autres, avec ses quelques forces et ses nombreuses failles.

Pour couronner le tout, l'esthétique n'est pas vilaine, et sert plutôt bien le propos. On oscille entre les plans claustrophobiques et les grands espaces illuminés, comme entre ceux qui n'ont rien et ceux qui ont tout.

En clair, une excellente série à voir absolument si vous avez aimé Squid Game, mais que vous voulez voir autre chose et - j'ose le dire - quelque chose d'un peu plus engagé.

Si ce n'est, comme évoqué dans d'autres commentaires, les réactions parfois complètement illogiques de certains personnages, j'ai trouvé la série vraiment originale et avec une dimension supplémentaire par rapport à Squid Game, à laquelle elle est forcément comparée.
Le rapport entre les étages représentant le rapport entre les différentes "classes" sociales.
Plus on a de pouvoir, plus on en veut. Plus on est humilié, plus on veut se venger. Moins on a de fric, plus on en désire.
L'instinct grégaire pousse l'homme à se comporter comme un animal, il oublie sa propre morale, porté par le groupe.
L'homme devient inhumain, et c'est ce qui fait son humanité, justement. C'est horrible, immersif, décadent, révoltant, amoral, stupéfiant, écoeurant, vil, mais hypnotisant.
Je n'oublierai pas cette série, comme je n'ai pas oublié le film The experiment avec l'incroyable Adrian Brody.

Encore une bonne série Coréènne, dans la ligne de squid games avec un scénario original. Les 2 premiers tiers sont originaux et on est bien accroché mais pour ma part le soufflet un peu retombé sur le dernier tiers. N'oubliez pas de regarder jusqu'à la fin du générique :)

De la grosse daube, on perd notre temps c'est violent pour rien, la numéro 8 ta juste envie de la frapper
Bref passer votre chemin

Une série qui rebutera un public peu habitué des œuvres auxquelles the 8 show fait référence.
A commencer par l'expérience de Milgram, l'œuvre la Ferme ainsi que Big Brother de Orson Wells ou bien encore l'Enfer c'est les autres de Jean-Paul Sartres.

Une référence à la série TV de Squid game qui fausse les attentes du téléspectateur. Plus qu'un simple slasher, the 8 show est une véritable critique de la société contemporaine sud coréenne et certains de ses travers. Le voyeurisme à outrance, la lutte des classes, la pauvreté, la vie en collectivité, l'instauration d'un système idéal qui devient corrompu, jusqu'où une personne poussée peut dépasser son sens moral et agir de manière perverse etc...

Cette série TV est dotée d'un scénario solide même si elle s'essouffle sur la durée et que la fin est très décevante. Les acteurs sont crédibles et tous bien mis en lumière. On regrettera peut-être le manque de contexte sur les producteurs de l'émission TV ou bien encore les enjeux transverses.

Pour ma part j'ai complètement adhéré à cette série que j'ai trouvée rafraîchissante et amenant de la réflexion. Ça change de la romcom habituelle de l'univers des k-dramas. Comme A Killer Paradox ou Hansel et Gretel, le cinéma coréen sait montrer du glauque et captiver son téléspectateur.

C'est ma premiere critique sur ce site et j'avais besoin de l'ecrire pour degager ma haine de cette serie

J'ai decouvert la serie a cause d'un site qui disait que cette serie ressembler a squid game... Je viens de finir les 8 episodes d'un coup...
On est plutot sur une serie du meme genre mais qui est au final assez ridicule qui pourtant commencer bien des les premiers episodes ou on apprecie le heros et on aime detester la numero 8, personnages bien cliché de la mechante avec des gouts de bourgeois mais a partir du 5eme episode... toute la magie s'en va et on se force a finir les episodes a cause de nombreuse scene inutile et aussi car le heros est au final spoiler: un naze qui s'en sort que grace au autres...
comme si le scenariste avait abandonné l'histoire du personnages principal et spoiler: aimer le torturer !


Les deux derniers episodes qui part en WTF complet ou le scenariste s'est dit limite spoiler: "pourquoi pas faire un scenario a la SAW ou orange mecanique avec des scene de torture a base de video qu'on oblige les autres candidat a regarder et une scene de torture ou l'un des candidat se fait literalement couper les testicules... pour une raison qu'on ignore limite... juste pour le plaisir de voir ce mechant souffrir peut etre apres tout ce qu'il a fait mais je trouver ca trop extreme et debile..."
et pour une fin trop banale ou on se dit spoiler: "8 episodes pour ca ? le personnages principale repart avec 1 milliard 500 de won = 700000 euros (tout juste de quoi rembourser sa dette de 600000 euros) et il a traverser de la torture pendant des semaines, vu une mort devant ses yeux pour l'equivalent de 700 000 euros ? et une vielle scene a la con pour que les perso rendent hommage a un candidat qui s'est pris pour le joker vers le dernier episode et qui meurt d'une facon ultra debile (delire du scenariste a tout les coup fan du joker de joaquim phoenix)"


Une serie qui sera assez vite oublier et qui fait pale figure à squid game qui est indetronable !
Impossible d'imaginer une seule seconde des goodies de cette serie tellement elle frisse le ridicule sur certaines scene...
J'ai fini la serie a 2 heure du matin en me forcant car je voulais connaitre la fin... j'ai grave la haine !
1 etoile pour les premiers episodes et 4 etoile en moins pour les scenes qui n'aurait pas du etre la et l'ennui qu'on ressens a certains episodes a cause d'un mauvais choix scenaristique !

Le moins que l'on puisse dire est que cette série est radicale. D'une violence inouïe. Le sujet des classes sociales, la pauvreté et l'inégalité en Corée du Sud a déjà fait l'objet de séries ou de films. " Squid Game" que beaucoup comparent à cette série en raison d'un jeu d'argent jusqu’au-boutiste ou encore le film palma d'or à Cannes "Parasite" en sont des exemples. Sauf qu'ici, pour faire passer leur message, avec la volonté de taper plus fort que "Squid Game", ils ne s'embarrassent d'aucune limite dans la surenchère et livrent un brulôt sans demi mesure ni subtilité. Personnages caricaturaux, perversité et sadisme sans respiration, cette série est difficile à supporter et l'on se demande si la complaisance ostentatoire des situations ne finit pas par produire l'effet inverse...

Une série assez prenante, dans la même veine que "Squid Game", même si ici, on met plus en avant la violence psychologique que le gore ou le spectaculaire vu dans la série phénomène. Les acteurs sont bons et le scénario très bien ficelé. Je regrette juste qu'il reste encore beaucoup de zones de mystère, qui je l'espère, seront expliqués dans une saison 2.

Dommage ça partait super bien puis beaucoup d'ultra violence inutile sauf que ça reste des sévices assez classiques, rien de très original. Quitte à faire gore, autant proposer des châtiments bien mémorables. Ca n'a jamais été le cas.... Le côté sociologique/psychologue est à peine effleuré (comme d'habitude avec Netflix).
Par contre les stéréotypes des personnage ne m'ont pas trop dérangé perso.

une mini série bouleversante, je déplore l'excès des scènes violentes et l'écriture de l'épisode 7 qui était très mauvaise, mais ça reste une série attirante et divertissante

Le speech de base spoiler: -celui de 8 endettés devant séjourner dans un huis clos-
était intéressant dans sa volonté de succéder à Squid Game ou d'au moins le rejoindre dans le Panthéon de ce genre qui actuellement plaît. Une belle satyre sociétale plutôt bien imagée, spoiler: notamment dans sa gestion des privilèges, du dirigisme, de la nourriture, des corvées moins ragoûtantes et d'autres.
. Les décors de ce huis clos restent quant à eux plutôt attirants, bien que peu exploités.

Globalement, les 4-5 premiers épisodes sur 8 étaient intéressants bien que plusieurs choses coincent sur l'ensemble :

spoiler: 1 - À commencer par la sélection des cartes chiffrées qui normalement pousse chaque arrivant, les uns après les autres dans le désordre, à choisir aléatoirement un chiffre de 1 à 8 pour ensuite se voire attribuer ensuite une chambre avec les privilèges adaptés au plus le chiffre est élevé. Donc, en prenant en compte l'aléatoire, pourquoi le schéma d'ordre (petite bourgeoise artiste capricieuse, scénariste intelligent qui se cherche, ancien champion de baseball et commercial en crise avec lui-même, infirmière...) à celui des plus précaires dans le besoin se répercutent à l'exactitude dans la décroissance des chambres ? Quand bien même une part de psyché et de déterminisme social pourrait expliquer le choix de chiffre plus haut ou plus bas, ça ne colle pas. 2 - Les personnages sont caricaturaux et bien souvent illogiques dans ce qu'ils sont, dans leur relation à l'autre, à celui qui leur fait du mal, malgré une situation qui empire avec le temps. Sans parler du fait qu'on nous joue le coup de la folie et des hallucinations pour justifier qu'un personnage craque et libère ceux qui ont fait le plus de mal au groupe... Même le personnage principal est très vite relégué au rang de martyre qui survit malgré lui et passe totalement au second plan. Ou encore la vilaine petite bourgeoise capricieuse qui à 2 % de son temps va avoir des moments de lucidités extrêmes avant de repartir dans le 98 % de ses délires enfantins. 3 - Ce qui rejoint donc aux actions irrationnelles ou réflexions lentes des personnages. Le fait notamment qu'il aurait été possible de très vite prendre la carte d'un autre joueur, de profiter de positions vulnérables, etc. Les règles du jeu ne disaient rien à ce sujet sur l'usage d'un joueur sur l'usage du compte d'un autre joueur. Ils auraient même pu envisager de demander à l'interphone d'un autre joueur de donner de l'argent à son propre compte, au lieu d'acheter sa chambre. Ou encore de se prendre une arme ou autre sur le compte d'un autre. En soi, on peut dire qu'il y a beaucoup de fait non exploités, de tentatives ratés ou même d'agirs beaucoup trop lents de la part des personnages. 4 - Rien dans les règles ne disaient qu'ils ne pouvaient pas commander de la nourriture, des boissons autre que "repas et boisson vous seront offertes". Aucune tentative en ce sens. Ce qui amène des passages assez loufoques où les personnages veulent une distillerie pour de l'alcool alors qu'il leur aurait été éventuellement possible de simplement demander la bouteille ? 5 - Puis globalement les 2 derniers épisodes prennent également des tournures sorties d'un chapeau, par pure lubie de réalisation, qui n'ont en soi que peu de logique au point d'user à nouveau d'un imaginaire burlesque pour créer l'accident libérateur nous catapultant une fin où chacun repart avec ses gains, où même l'un des vilains de l'histoire prend le temps et l'argent d'envoyer un bouquet de fleur en se disant sincère pour la mort du personnage qu'il a souvent martyrisé et qu'il jurait de buter après qu'il lui ait arraché les ongles de pieds... 6 - Finalement, on s'éloigne de ce que la scène post-générique veut faire en brisant le 4ème mur et en voulant espérer, par ce projet, être un chef-d'œuvre en proposant une possible saison 2 car comme je le disais précédemment, dans sa critique sociétale, la volonté étant bien là de créer un deuxième Squid Game. Ainsi, la scène post-générique offre une piste de réflexion quant à la création du jeu et l'objectif, entre argent et divertissement.


Ce que je peux donc conclure, c'est que The 8 Show reste une œuvre complexe et réussit au moins le pari de faire sa satyre sociétale. Il faudrait éventuellement revoir la série et aller dans le détail pour en voir et revoir toute sa teneur. Cependant, beaucoup de défauts persistent dans l'œuvre en elle-même, de l'exploitation des personnages à l'environnement créé, qu'elle devra réellement corriger si elle veut surpasser son maître de rang.