Ce sont donc le touchant Patrice, le truculent Jean-Paul et la déterminée Anaïs qui ont ouvert le bal des speed-datings. Le coup d'envoi de la 18ème saison de L'amour est dans le pré a été donné le lundi 21 août, entre crises de larmes, moments embarrassants et blagues grivoises de Karine Le Marchand. Un cocktail qui fait tout le charme du programme sentimental de M6 et dont les téléspectateurs se délectent chaque année. Jean-Paul devrait continuer de les enivrer de bonheur, lui qui a choisi Maria et Christine parmi ses prétendantes pour les emmener sur son exploitation.
Le coup de coeur de Jean-Paul
Durant l'étape des speed-datings, le céréalier de 62 ans a ressenti un vrai coup de coeur pour la première, mais est également tombé sous le charme de cette autre femme qui lui a écrit. Cette dernière est arrivée la première sur les terres du doyen de la promotion et a été accueillie avec un temps de retard. Ce sur quoi elle n'a pas voulu s'attarder pour faire la meilleure impression possible. Une stratégie également adoptée par sa concurrente, et que les plus pressés peuvent visionner sur la plateforme 6play. Car, le deuxième épisode de cette saison, diffusée le lundi 28 août, va voir Maria s'emballer un peu vite aux yeux d'un agriculteur un peu plus terre à terre.
Quand Maria s'emballe un peu vite...
Enthousiaste à l'idée de le conquérir, cette pétillante retraitée s'est présentée à lui avec un tee-shirt personnalisé, comportant un message très implicite : "I love Jean-Paul". Une initiative un peu trop directe pour le principal intéressé, plus embarrassé que séduit. "Ben non, déjà, tu vas trop vite Maria", lui lance-t-il, refroidissant les ardeurs de la sexgéanaire. Car, face aux caméras de M6, Maria n'a pas caché sa déception. "Le tee-shirt, ça lui a fait ni chaud ni froid, peut-être qu'il n'est pas habitué à ce qu'on le flatte comme ça, peut-être qu'il a peur aussi que j'aille un peu vite", a-t-elle analysé, avec lucidité. Il va falloir mettre le pied sur le frein pour ne pas faire fuir cet amateur de beau mollet.
